Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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« Il faut que cela soit possible »

20/05/2010 16:25

« Il faut que cela soit possible »


J’ai assisté hier après-midi à l’audition de Madame LAGARDE, Ministre de l’Economie et des Finances, par les commissions des affaires étrangères et européennes réunies.
Au-delà du discours officiel prononcé par la Ministre, avec, il faut le reconnaître, beaucoup d’intelligence, ses réponses aux questions et ses silences étaient fort révélateurs du gigantesque bluff que constitue le fameux plan de sauvetage de la zone euro.
Quand je lui ai demandé comment les économies des pays du Sud et des pays du Nord pourraient converger, elle s’est limitée à une phrase qui résume le désarroi général des européistes « Il faut que cela soit possible ».
Elle n’a pas voulu admettre bien sûr la divergence des économies européennes. D’un côté, l’Allemagne qui accumule des excédents commerciaux toujours plus élevés, de l’autre, les pays du Sud et la France qui s’enfoncent dans la déflation ou la stagnation.
« Il faut que cela soit possible » a-t-elle répété à court d’arguments, en évoquant la « fameuse » coordination économique.
Mais comment la mettre en œuvre quand la monnaie dope l’Allemagne et asphyxie les autres pays ? Madame la Ministre, bien évidemment, n’a pas voulu répondre !
En vérité, elle ne pouvait pas répondre, car elle aurait été obligée de reconnaître que c’est impossible. Faute de vouloir organiser la retraite de l’euro, c’est-à-dire le retour dans le calme des monnaies nationales, Madame LAGARDE et tous les dirigeants européens préparent la déroute de l’Europe.
NDA







Encadrement constitutionnel du déficit budgétaire : une annonce délirante !

20/05/2010 16:17

Encadrement constitutionnel du déficit budgétaire : une annonce délirante !


COMMUNIQUE DE PRESSE

Encadrement constitutionnel du déficit : aberration et impuissance !

L’inscription dans la Constitution d’une mesure d’encadrement du déficit budgétaire de la France est une annonce qui n’a ni queue ni tête et qui, si elle devait être mise en œuvre, relèverait d’une inadmissible dictature budgétaire.
C’est tout d’abord une mesure démagogique et incantatoire, une sorte de « parole magique » aberrante et impuissante, qui prétend décréter le niveau des déficits comme on décréterait le niveau de la croissance !
C’est aussi une mesure absurde, qui s’attaque à l’effet et non à la cause du mal : elle ne permettra en aucun cas d’assainir les finances publiques de la France, structurellement obérées par un euro trop cher qui tue la croissance. Au contraire, sa mise en œuvre, porteuse de sévères politiques déflationnistes, aggraverait fatalement les choses au lieu de les améliorer, comme le prouvent les précédents catastrophiques Laval en France (1932-1935) et Brüning-Von Papen en Allemagne (1930-1932).
C’est enfin une mesure anticonstitutionnelle, limitant la souveraineté financière de la Nation et de ses représentants, et profondément attentatoire au droit du peuple français à décider de lui-même. Cette véritable dictature budgétaire, inspirée par une Union européenne qui échoue depuis 20 ans et une Allemagne qui prétend imposer ses vues à l’Europe à coup de mesures unilatérales, ne pourra que susciter la colère et la révolte de nos concitoyens.
Après le coup de force de la ratification parlementaire du traité de Lisbonne, en violation du suffrage universel librement exprimé le 29 mai 2005, la France ne doit pas subir un nouveau hold-up antidémocratique avec une décision du Congrès.
Seul le référendum a la légitimité requise pour se prononcer sur une décision de cette importance et je me battrai pour que ce droit fondamental et sacré du peuple français ne soit pas, une nouvelle fois, bafoué.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN - Député de l’Essonne - Président du rassemblement gaulliste Debout la République





C’est la reprise… pour quelques uns

19/05/2010 16:36

C’est la reprise… pour quelques uns


Moins que jamais la situation économique de l’Europe semble durable. Les perspectives de croissance sont quasiment nulles alors que le chômage est déjà  à un niveau très élevé. Le niveau des dettes pose la question de la solvabilité des Etats. La situation semble intenable. Mais si elle tenait ?
L’austérité pour l’Europe d’en bas
Il y a quelques semaines, beaucoup doutaient de la capacité du peuple grec à supporter un plan d’austérité pour remettre ses finances publiques en ordre. Pourtant, le gouvernement socialiste n’a pas lésiné sur les moyens en annonçant des mesures qui pourraient réduire les déficits de 10 points du PIB en seulement 3 ans : suppression des 13ème et 14ème mois pour les fonctionnaires, deux hausses de la TVA, relèvement de l’âge de la retraite… Le cocktail imposé à la population est indigeste.
Pourtant, malgré les protestations, le gouvernement garde une bonne côte de popularité. Le vent de l’austérité et des coupes sombres dans le budget ne semble pas menacer les équipes gouvernementales, y compris en Irlande ou en Lettonie. Depuis, l’Espagne, le Portugal, et, dans une moindre mesure, la France ont annoncé des mesures d’austérité pour remettre leurs finances en ordre. Voilà un climat économique peu propice à la croissance et donc à l’emploi.
En clair, c’est la triple peine pour les citoyens lambda : plus de chômage, plus d’impôts et moins d’aides de l’Etat. Pas étonnant que les Français soient pessimistes sur leur avenir économique. Il n’y a aucun espoir de reprise économique significative dans les deux à trois ans à venir. On pourrait dire que l’ajustement budgétaire est nécessaire, mais ce serait ignorer qu’il y a des solutions alternatives pour le rendre moins douloureux, et surtout que l’impact de la crise n’est pas le même pour tous.
Le champagne pour l’Europe du haut
En effet, si la crise financière s’est rapidement transformée en crise pour tous, il y a peu de chances que les signes de reprise se transmettent à l’ensemble de la population. En effet, si l’économie productive ne semble pas encore avoir touché le fond, notamment en matière de chômage, il en est tout autrement dans l’univers merveilleux de la finance et des grandes entreprises, pour lesquels, malgré les soubresauts et les incertitudes, la reprise est déjà là...
En effet, le monde financier a bénéficié de l’effondrement des marchés en 2008 puisque cela a permis des gains importants dans les bourses du monde entier en 2009, qui se sont transformés en de beaux et juteux bonus, à rebours du reste de l’économie. Il y a quelque chose d’extrêmement malsain à ce que de telles choses soient possibles malgré les innombrables discours des dirigeants de la planète sur la nécessaire moralisation du capitalisme, qui est au point mort.
Mais ce n’est pas tout. Le Monde révèle que pour les entreprises du CAC 40, c’est déjà la reprise puisque leur chiffre d’affaire a progressé de plus de 5% au premier trimestre 2010. Les analystes anticipent déjà une progression des profits de l’ordre de 30% pour cette année. Bref, la crise, ce n’est plus pour les grandes entreprises, qui profitent notamment de l’expansion des pays émergents ! Nul doute que les rémunérations et les bonus des dirigeants suivront…
C’est tout le danger de la période actuel : comme après l’éclatement de la bulle internet, le redressement des grandes entreprises et de la finance pourrait bien camoufler une situation économique globale beaucoup moins bonne, freinant tout changement du système.





L’Académie des Inscriptions et Belles Lettres unanime pour le maintien du français dans l’enseignement supérieur et la recherche !

19/05/2010 16:24

L’Académie des Inscriptions et Belles Lettres unanime pour le maintien du français dans l’enseignement supérieur et la recherche !


Constatant le recul du français dans les communications scientifiques émanant de chercheurs et universitaires francophones, l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres a adopté à l'unanimité une déclaration enjoignant ces derniers de mieux défendre notre langue, source d'une irremplaçable richesse sémantique.

 

L’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres constate une tendance croissante à user exclusivement de la langue anglaise dans les congrès et colloques de certaines sciences humaines organisés en France.
Ce comportement est illégal, il est regrettable au regard de la position traditionnelle de la langue française, et il donne un fâcheux exemple aux francophones du monde entier. D’autre part, il est défavorable au progrès de la recherche. En effet, la langue n’est pas neutre : elle convoie inévitablement des formes de pensée, surtout dans le domaine des sciences humaines, où la diversité est une richesse. L’usage exclusif d’une seule langue a pour effet un appauvrissement.
Il importe naturellement que les chercheurs français et francophones participent pleinement à ce qui se fait à l’échelle mondiale. Mais cela n’implique pas qu’ils renoncent à leur langue, qui, au contraire, leur facilite la tâche et accroît leur productivité.
Il n’est pas difficile de concilier le respect de la langue française et la nécessité de l’intercompréhension. L’Académie appelle à l’observance des règles suivantes, qui découlent de la législation en vigueur :
- Le français figure parmi les langues admises dans le programme de chaque rencontre organisée sur le territoire français, et il existe une version ou un résumé en français de tous les documents produits à cette occasion.
- Les participants français s’expriment oralement en français et, en cas de nécessité, distribuent ou affichent une traduction ou un résumé de leur communication en anglais ou autre langue.
- Les participants non francophones, en cas de nécessité, s’expriment en une autre langue et distribuent ou affichent une traduction ou un résumé en français.
Quant aux publications, l’Académie invite les chercheurs français à s’y exprimer en français, en accompagnant leurs textes, si nécessaire, d’une traduction ou d’un résumé en anglais ou autre langue.





L’euro, l’enjeu de 2012

18/05/2010 21:24

L’euro, l’enjeu de 2012


Dupont-Aignan : "Sortons de la monnaie unique en bon ordre, il est encore temps"

Marianne, le 15 mai 2010, propos recueillis par Alexis Lacroix

Comme chaque semaine, Marianne laisse carte blanche à deux invités. Pour Nicolas Dupont-Aignan*, député de l’Essonne et leader de Debout la République, l’euro est le véritable enjeu de 2012.
Après le mirage du sarkozysme, voici venu le temps du mirage de l’antisarkozysme. Il suffirait de changer l’excentrique locataire de l’Elysée, de supprimer son totémique bouclier fiscal, pour que tout rentre dans l’ordre. Les candidats, notamment à droite, se bousculent en vue de 2012.
Mais expliquer le désamour des Français pour leur président par sa difficulté à habiter la fonction ne suffit pas. Car l’ampleur de la disgrâce tient surtout à l’immense désillusion des Français qui avaient cru à sa rupture avec la pensée unique et attendaient des résultats sur l’emploi, le pouvoir d’achat, la sécurité, la maîtrise de l’immigration… Celui qui défiait la pensée unique en est devenu le symbole, les actes n’ont pas suivi les discours.
Malheureusement, comme lui, ses rivaux de l’UMP et du PS ont capitulé face à une mondialisation inhumaine et ne divergent que sur la forme et la couleur du pansement à appliquer sur les plaies à vif d’une France qui s’embourbe chaque jour davantage dans la régression économique et sociale. Pour vaincre la maladie du chômage de masse qui gangrène notre société, il faut plus qu’un pansement. C’est tout l’enjeu de 2012. Pour gagner la bataille de l’emploi, il faut relancer la croissance, et donc tout miser sur la compétitivité de notre pays. Cela exige une vraie rupture cette fois. Rupture au niveau national avec les clientèles, les réseaux, les lobbies, car la somme des intérêts particuliers n’a jamais fait l’intérêt général. Cela passe par une révolution fiscale (modulation de l’impôt sur les sociétés selon l’utilisation des bénéfices, TVA sociale,…) favorisant enfin l’investissement, l’innovation, la production localisée sur le territoire français. Cela passe encore par un grand coup de pied dans la fourmilière de l’oligarchie bancaire
Mais la rupture doit aussi se faire au niveau européen pour sortir de l’asphyxie de l’euro cher, du dogme de la concurrence et du libre-échange déloyal. Veut-on dans cinq ans ressembler à la Grèce saignée par des Diafoirus, le fameux médecin de Molière ? Voilà pourquoi, si l’on veut retrouver une dynamique de croissance, et retrouver une marge de manœuvre pour investir dans l’avenir, la sortie de l’euro est une urgence absolue. Sortir maintenant en bon ordre de la monnaie unique, ou le faire d’ici à quelques années de manière subie, dans le chaos le plus complet et après une cure d’austérité aussi inutile que dévastatrice pour notre économie, tels sont les termes du choix qui se pose à nous.
Il ne faudra pas compter sur ceux qui ont inventé la monnaie unique pour défaire ce système malthusien, tant ils paraissent résolus à entraîner les peuples dans leur fuite en avant, jusqu’à l’abîme. Ils ont tort de lier le sort de l’Europe à celui de la zone euro, car c’est tout au contraire en rendant aux monnaies nationales leur liberté que l’on permettra à l’Union européenne de relever les défis de l’avenir, à travers des coopérations à la carte, scientifiques, technologiques, industrielles, environnementales…
C’est tout le sens de la pétition nationale lancée par Debout la République. Ce débat, majeur, sera bel et bien au cœur de la prochaine élection présidentielle.

* Député de l’Essonne, président de Debout la République.






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